Bonifacio: Escalier du roi d’Aragon et Bastion de l’Étendard

BASTION DE L’ÉTENDARD
C’est à partir de la conquête en 1195 de Bonifacio que les Génois renforcent, dans un premier temps, les fortifications existantes construites par les Pisans. Puis, c’est au XIVe qu’ils engagent la modernisation complète de l’enceinte. Cette fortification sera renforcée et aménagée par les Français, au XVIe, après le siège franco-turc.
Le Bastion demeure la partie la plus imposante des fortifications. Il est aujourd’hui un lieu emblématique de Bonifacio et est composé de plusieurs espaces de visite.
Dans les 4 salles souterraines de la Tour de l’Étendard, utilisées par la garnison génoise jusqu’à la Révolution Française, sont reconstitués les grands évènements du passé de Bonifacio :
1. La reproduction du squelette de la «Dame de Bonifacio» (- 6 500 ans av. J.C)
2. Le naufrage de la Sémillante (15 février 1855)
3. Le marché médiéval alimenté par le commerce triangulaire Bonifacio, Sardaigne, Gênes
4. La visite de Charles Quint, reçu par Fillipo Cattacciolo
5. Le Corps de Garde génois
6. Le moulage du squelette momifié d’un soldat turc (1553)

L’ESCALIER DU ROI D’ARAGON
Taillé de main d’homme dans la falaise, l’insolite Escalier du Roy d’Aragon est doté de 187 marches et surplombe la mer de 65 mètres. En contrebas, il se poursuit par un chemin sécurisé entre ciel et mer qui donne accès à une grotte naturelle. Aménagé à partir d’une faille naturelle de la falaise, ce chemin était utilisé ponctuellement par la population pour s’alimenter en eau douce. Ce sont les pluies, par le jeu des failles de la presqu’île, qui ont toujours alimenté cette nappe d’eau et le fameux puits de Saint-Barthélemy (aujourd’hui inaccessible).
Une légende nous rapporte qu’en l’an 1420, le roi d’Aragon Alphonse V, déjà maître de la Sardaigne, veut enfin se rendre maître de la Corse qui avait été concédée à ses aïeux par le Pape en 1296. Appuyé par un seigneur Corse, Vincentello d’Istria, qu’il avait nommé vice-roi de l’île, il s’en était rendu maître, à l’exception de Calvi et de Bonifacio. En 1420, il vint mettre le siège devant cette dernière cité.
La légende nous apprend aussi que devant la résistance acharnée des Bonifaciens, les soldats aragonais tentent d’investir une dernière fois la ville par un escalier à flanc de falaise qu’ils creusent en une nuit. Le travail touchait à sa fin, lorsque, les femmes effectuant une ronde sous la conduite de Marguerite Bobbia entendent des bruits suspects et donnent l’alarme. Devant la pugnacité des Bonifaciens à défendre leur ville, le roi d’Aragon Alphonse V, appelé vers d’autres conquêtes, abandonne ses ambitions sur la Corse et quitta Bonifacio pour ne plus y revenir. L’échec du siège de la ville, qui est en ce temps une cité plus que fidèle à Gênes, renforce la réputation de Bonifacio comme étant une citadelle inexpugnable.
En réalité, la faille dans la falaise existe depuis la nuit des temps et ce passage naturel a été constamment amélioré depuis la préhistoire pour devenir un véritable escalier. Il n’a par contre jamais été emprunté par les Aragonais, mais, en cas de siège, il permettait d’accéder à la nappe d’eau douce, vitale pour la population. Depuis 1909, l’escalier dit du Roy d’Aragon est retenu parmi les sites les plus pittoresques de la Corse.

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Sculptures de la mer autour de Bonifacio

Serge est arrivé à Bonifacio, charmante petite ville que nous avions visité lors de mon séjour. Il a pris une petite croisière en bateau qui l’a mené aux environs de Bonifacio, pour visiter des grottes et des chefs-d’oeuvre sculptés par la mer. Aucune sculpture, si bien façonnée soit-elle par l’Homme, ne vaut ça! Je vous laisse découvrir….

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Excursion en montagne

Serge et moi devions hier faire une excursion qui allait nous mener jusqu’à Porto Ota, mais comme je suis revenue plus tôt, Serge y est allé sans moi. Certaines photos montrent des paysages qui semblent assez impressionnants! Aussi, quelques photos de Propriano que Serge quittera demain afin de se diriger vers le sud de la Corse.

Quelques mots sur Propriano: Peuplée d’environ 3 200 habitants, cette commune dépasse les 20 000 personnes en été. Protégé des vents dominants d’ouest, son plan d’eau semble avoir été fréquenté dès l’époque romaine. Au début du XVIème siècle, cette modeste escale vide d’habitations et d’habitants pour cause d’insécurité barbaresque accueillait les navires bonifaciens ou ajacciens venus charger le blé, l’orge et l’huile de la plaine di A Varia (aujourd’hui nommé Tavaria). Avec son port de commerce comprenant deux jetées et un quai accostable, elle devient à la fin du XIXème siècle un point de liaison pour les bateaux à vapeur. Avec le développement touristique de la fin des années 50, la cité du Valinco avec ses plages, ses criques, ses loisirs, devient une station balnéaire de renom. De récentes fouilles ont mis à jour, à Propriano, un ensemble d’églises et une nécropole antique.

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Propriano, nouvelles toiles et nouveau site

Mon beau capitaine a 58 ans aujourd’hui et il les fête à Propriano en Corse. J’attends des nouvelles photos sous peu. En attendant, je vous propose 2 nouvelles toiles que je viens de terminer. Je suis à préparer un site Facebook entièrement consacré à l’exposition et la vente de mes toiles. J’espère que vous n’hésiterez pas à communiquer avec moi si une de mes toiles vous intéresse! Je vous reviens avec les coordonnées du site dès qu’il sera terminé.

Retour plus tôt que prévu sur Montréal

Revenue plus tôt que prévu sur Montréal car le roulis continuel du bateau accentuait mes douleurs au dos, au point que je ne pouvais plus bien dormir et la fatigue s’accumulait. Les déplacements devenaient ainsi de plus en plus difficiles et ardus.

Donc, pour sceller mon départ et la « bientôt-fête » de Serge (le 23 juin), nous sommes allés passer notre dernière soirée d’amoureux dans un charmant et goûteux restaurant corse, le U Pampasgiolu (qui veut dire Le Coquelicot en corse). Je vous le recommande chaudement. Enjôleur et typique, ce restaurant propose de grandes assiettes qui expriment toute la Corse en un seul plat. Par une cuisine traditionnelle corse modernisée avec des saveurs et des mariages de goût typiquement de la région. Entre autres, ils offrent 2 « planchas », une de terre et une de mer. Nous avons évidemment pris la plancha di mare : soupe de poisson à se rouler à terre tellement c’était goûteux, rouget et autres poissons en sauce, carpaccio de lotte, calmars (que j’ai donnés à mon chum avec plaisir!) et fromage de Tome corse avec sa confiture de figues. Un vrai délice! Nous avons même été les premiers à expérimenter un nouveau dessert fait par le chef ce soir-là, sorte de meringues avec une glace à la châtaigne et des tranches de mangues. Très frais avec le vin corse. Ce fut une belle soirée remplie de rires et de regards complices.

Ayant réussi à faire changer mon billet d’avion, je suis repartie hier matin pour une journée qui allait être plus longue que prévue. En effet, il y avait des grèves partout à Paris: certains métros, trains et bus étaient en arrêt, en plus des gens de maintenance à l’aéroport qui ralentissaient parfois la cadence. Ainsi, quand j’ai débarqué à Orly, les gars mettaient une valise de temps en temps sur le tourniquet à bagages qui était d’une lenteur comme j’ai rarement vue! En plus, ils nous charriaient d’un tourniquet à l’autre, nous disant que nos bagages n’étaient pas à la bonne place. On arrivait à l’autre tourniquet et ce n’était pas les bons bagages. Des vrais fous, c’était le gros bordel! Une Française me disait que c’était souvent comme ça et les gens ne se plaignaient pas.

Donc, presqu’une heure pour récupérer ma valise, puis direction vers la navette pour aller à l’aéroport Charles de Gaulle où je devais prendre mon autre avion pour Montréal. De nouveau, attente d’une heure mais aucune navette ne se pointait. Un préposé aux bagages nous informe qu’à cause des grèves de trains et métros, c’est le gros traffic, parfois des bouchons de 30 km sur les routes. Je commençais à stresser, je voyais l’heure passer et je me disais que j’allais manquer l’avion.

Soudain, est arrivé un monsieur avec une camionnette pour nous offrir le transport jusqu’à l’autre aéroport, je crois que c’était un employé de l’aéroport. Nous sommes embarqués 8 dans la camionnette et nous voilà qui fonçons dans le traffic sur le périphérique de Paris. Vous auriez dû voir le type, un vrai cowboy à zigzaguer entre les voitures. Un vrai Pro de la conduite automobile. Il a même évité 2 accidents de justesse (des gens qui venaient nous couper à la dernière minute). Inutile de vous dire que j’avais chaud en maudit. Donc, une autre heure pour atteindre Charles de Gaulle et je ne me suis pas fait prier pour lui donner le montant que m’aurait coûté le transport en navette. Je lui ai dit: « Bonne job, mon gars, ca vaut bien ça!!! ». Il était content surtout que je pense que je suis la seule qui l’a payé.

Par la suite, j’entre dans l’aéroport et c’est encore le bordel : tout le monde s’agglutine en entonnoir pour passer les douanes. Je cours en vitesse enregistrer mes bagages puis je cours pour passer les douanes, puis je cours pour entrer dans l’avion. J’étais exténuée! Moi qui voulais prendre le temps de pisser, manger, magasiner un peu quelques souvenirs, utiliser le WI-FI de l’aéroport pour envoyer un beau message à mon amoureux. Rien de tout ça, qu’une fille qui s’écrase dans son siège en espérant que le souper dans l’avion ne tardera pas trop. Soudain, je me rends compte que l’avion est à moitié pleine et que j’ai une rangée à moi toute seule. Praise the Lord!!! Alleluia!!! Ca ne m’était jamais arrivé. J’avais justement espéré que le voyage se passe dans des circonstances plus aisées pour mon dos et voilà que mon vœu était exaucé! Ca m’a aidée pour le voyage parce que je pouvais bouger en masse et me lever, m’étendre, donc j’ai eu mal au dos mais beaucoup moins que je pensais.

C’est sûr que je regrette ne n’avoir pu rester plus longtemps mais je dois m’occuper de ce dos et reprendre les investigations et traitements. J’ai apprécié chaque seconde de ce voyage avec mon Capitaine même si nous n’avons pu avoir accès à certaines activités dû à la haute saison qui n’était pas encore commencée.

Tutti frutti

  • Bonne fête des pères à  tous les papas que je connais, spécialement mon Capitaine qui sera bientôt grand-papa. Allez, papi Serge, fais-moi un sourire 

 

  • Journée de grands vents aujourd’hui. Autant hier
    la chaleur était accablante et l’absence de vent était criante, autant
    aujourd’hui, les vents dominent cette journée ensoleillée qu’on aurait cru pluvieuse au départ.
  • La nuée de touristes commence à affluer et il était un peu difficile de circuler au travers le petit marché ce matin. Par
    contre, l’atmosphère des marchés corses est palpable avec leurs saucissons odorants, leurs fromages de chèvre, de brebis, de tome et autres saveurs délectables, leurs bijoux de tous genres et leur corail hors de prix, leurs vêtements toujours originaux mais dans des tailles souvent lilipuciennes pour moi (moi et les Européennes, on n’a pas le même gabarit, vous vous en doutiez). J’aime vraiment m’y balader même si je n’achète pas toujours quelque chose. Mais pour toi, ma petite cocotte d’amour, ma fille chérie, ces boucles d’oreillesen Gorgone, sorte de corail nervuré de la Corse.

  • Arrivé dans le port d’Ajaccio, ce magnifique navire-école italien.  Les filles, je vous dis qu’il y a du « Officier and Gentleman » dans les rues d’Ajaccio! Watatow!!! Désolée mais je n’avais pas ma caméra à ce moment-là,  Bien que l’uniforme soit seyant, il jure un peu par contre sur le corps des femmes. Je le renipperais d’un petit foulard de soie de ma chère Lili, histoire de féminiser le tout.
  • Nous nous sommes essayés de nouveau et bingo!
    Nous avons réussi à réserver une excursion pour mercredi prochain. Nous
    passerons la journée à la Calanque de Piana : col de Bastiabo qui domine
    le golfe de Sagone, vallée de Vico jusqu’au golfe de Porto, puis Evisa et les
    gorges de la Spelunca. Ca ne devrait pas être trop désagréable,.
  • Pas loin de nous à la marina, nous tombons sur
    le voilier Arduenn et son propriétaire Bruno Molinari qui nous avait si chaleureusement accueilli chez lui aux environs de Marseille l’an passé. Nous avons acheté des victuailles en prévision d’un petit apéro 5 à 7 tantôt.

Scène de la vie champêtre

Plus je vieillis, plus je préfère le travail solitaire, à la maison, là où je suis la plus efficace. J’ai toujours mieux créé dans la solitude, ça doit être mon tempérament artistique qui prend le dessus.  De toute façon, j’exècre de plus en plus les foules, le téléphone, les commérages au profit d’une introspection salutaire.

Donc, les vacances, c’est chouette pour ça. Vous êtes entouré de gens mais seul avec vous-même.

Je me vois  facilement  vieillir dans une maison située sur un cap de roches, face à la mer, un peu en retrait du village, n’y allant, dans une vieille voiture déglinguée, que pour faire le plein de victuailles et y exposer quelques toiles dans les petits bistros de la place, que pour le plaisir des yeux, espérant en vendre une de temps en temps car je vivrais de simplicité volontaire. Les gens diraient : « C’est la veuve du Capitaine qui vient faire son tour. Étrange femme… »

Bon, je conviens que le dernier bout de cette scène champêtre est un peu difficile à croire quand on connaît mon amour du shopping, des beaux vêtements et des  beaux objets mais je pense qu’il est possible et souhaitable de se délester de bien des fardeaux plus on s’approche de la fin de la vie. Comme nous ne sommes pas désincarnés dans cette vie-ci, je sais toutefois que ce n’est pas chose aisée.

Donc, si vous me demandiez mon « plan de carrière » pour les 20 prochaines années, je vous dirais primo, foutre le camp dudit bordel du travail et, secundo, me diriger doucement vers cette retraite que je souhaite paisible (à ne pas confondre avec le mot ennuyante).

Vous pouvez toujours contribuer au Fonds Madeleine Hamel en lui achetant une toile à un prix plus abordable que vous le pensez!

Farce à part, je tiens à rajouter une scène importante dans ce tableau idyllique : les amis et la famille, pas trop loin, avec qui les plus beaux moments se vivent autour d’une bonne table à célébrer la vie. Fou-rires garantis! Et je retournerais dans mon petit « home, sweet home », remplie de moments de « bonnes heures » jusqu’à la prochaine fois…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous avez dit Train???

Ce matin, nous avions projeté d’aller à Calvi en prenant le train. Suite aux mésaventures ferroviaires de Serge en terre corse, je me suis fait la réflexion que ce serait bientôt à mon tour de vivre l’expérience. Donc, lever à 6h30, préparatifs de circonstance et départ à 8h00 pour prendre le train de 8h40.

Devinez  quoi? Je vous le donne en mille!! Les employés sont en grève. Hey oui! Nous ne savons pas si c’est uniquement pour la journée ou pour plus longtemps. Plan B : on se rabat vers la plage. Nous qui ne nous étendons jamais sur une plage – Serge,
par désintérêt et moi à cause de ma peau de pet – nous décidons d’aller nous baigner dans l’eau bleue de la Méditerranée et Dieu que ça fait du bien!! Mais aussitôt revenus au bateau, la chaleur est insupportable. Je pense que depuis mon arrivée, c’est la journée la plus chaude.  Mes cheveux sèchent en un temps record. Nous en proftons pour faire le lavage. Le linge devrait prendre peu de temps pour sécher lui aussi.

Ce soir, il y aura du loup au souper (pas la bête; le poisson!).

Road trip

Nous nous dirigeons vers Bonifacio en passant par Propriano et Sartène, sans toutefois nous y arrêter. A Propriano, toute l’activité se concentre sur la rue longeant le port. On y vient surtout pour sa station balnéaire. Quant à Sartène,  il est mieux de la visiter hors-saison, comme tous les endroits que nous avons faits en 2 jours car, en premier lieu, la route est sinueuse et se partage entre les camping cars, les voitures, les cyclistes et les troupeaux de vaches qui se faufilent entre les voitures. J’imagine facilement qu’en juillet et août, ça doit être interminable et demander une patience d’ange que  de se rendre à destination. Aussi, à ce
moment-là au plus gros de la saison , le nombre de touristes doit être infernal.

Nous arrivons à Bonifacio qui est en fait un fjord entouré de falaises de calcaire, pur bijou à contempler. Sur une de celle-ci, une
citadelle fermée au public mais entourée de ruelles étroites dominant de près de 70 mètres les eaux turquoise de Bonifacio. Il y a déjà plein de groupes de touristes qui se bousculent pour prendre le petit train afin de visiter la ville et ses remparts. Encore heureux qu’on ne soit pas en haute saison car, paraît-il, la ville devient saturée de touristes et les prix triplent! La fondation de la ville serait l’œuvre du marquis de Toscane, Boniface, qui lui aurait donné son nom en 828.

Nous logeons à l’hôtel La Caravelle, charmant  3 étoiles, avec une petite chambre coquette et simple mais avec un matelas creusé dans le milieu. La seule façon pour moi d’y dormir est de travers afin d’y ménager mon dos. Découragée de ne pas y
trouver le sommeil au début, je réussis toutefois à y faire 6 heures en ligne. Le petit déjeuner est excellent mais nous coupe notre ardeur lorsque la facture arrive : 16 euros chaque! La veille, j’avais compris 6 euros….

Par la suite, nous nous dirigeons vers le Col et les Aiguilles de Bavella dont nous avons beaucoup entendu parler. Nous passons par
Porto Vecchio  mais nous n’y restons pas longtemps, juste le temps de s’informer à la capitainerie car il est possible que Serge y fasse une halte plus tard dans la saison ou l’an prochain.

Nous nous dirigeons par la suite vers le col de Bavella par d’interminables lacets sur une trentaine de kilomètres dans un paysage sauvage et somptueux. Le massif de Bavella est quelque chose à voir! Quant aux aiguilles de Bavella, ce sont des pointes de granite acérées et sculptées par les intempéries, culminant à plus de 1,600 mètres. Bien que le décor naturel soit époustouflant à voir, la gestion du site laisse cependant à désirer : le stationnement est occupé en grande partie par les autobus de touristes et
les lieux sont jonchés par endroits par des amoncellements de planches et de morceaux de fer, nous laissant hésitants à nous avancer pour prendre des photos. On y rencontre de temps en temps des randonneurs venus faire le 20, sentier balisé qui est devenu une institution. Le parcours suit une diagonale orientée nord-ouest/sud-est,  sur une
distance de 200 km, que l’on fractionne en 15 étapes d’une durée moyenne entre 5 et 8 heures. Le GR20 est un parcours de montagne qui nécessite une excellente forme physique : 10,000 mètres de dénivelé au total avec des étapes pouvant comporter 800 mètres de montée. Pas pour moi!

Somme toute, deux belles journées comme je les aime car j’apprécie visiter des endroits  de façon différente.

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